ANDRÉSY mai 2012)
Le vieux village, proche du confluent de la Seine et de l'Oise, s’allonge à mi-coteau de l'Hautil, colline boisée sillonnée de galeries, stigmates de l’exploitation intensive du gypse. Maisons rustiques et échoppes s’échelonnent de l’église Saint Germain de Paris à la bibliothèque Saint-Exupéry qui abritait à l’origine, la mairie transférée dans la villa des Tilleuls.
Sur les pentes, point culminant de la région parisienne, demeures modestes et villas contemporaines, embrasent un panorama qui court de la vallée de Montmorency jusqu’à la Butte Montmartre.
Au milieu du fleuve, l'île d'Andrésy est formée de trois îles, réunies en 1846 pour faciliter la navigation : l'île d'en bas, l'île du devant et l'île Nancy sur laquelle s’appuie le barrage écluse à grand gabarit, inauguré en novembre 1974. Vers l’aval, villas et maisons de maître ont investi la rive, comme « les Vikings », pavillon norvégien de l'Exposition universelle de 1900, ou encore le chalet de Denouval, dominant le fleuve.
À l’écart du village, au beau milieu d’une campagne riante, on trouve le domaine du Faÿ, entouré de quarante hectares de parc tourné vers la vallée de l’Oise. Dissimulée au milieu du massif de l’Hautil, la Barbannerie, maison bourgeoise, fut bâtie en 1922 malgré de nombreux blocages du service des carrières.
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