FRANCILIEN-HEUREUX

FRANCILIEN-HEUREUX

VILLENEUVE SUR AUVERS (octobre 2015)

La première mention du village date de 1173, lorsque des tenanciers de l'abbaye déboisent pour mettre en culture des terrains sur le plateau de "la petite Beauce ». Au XVIIe siècle, Villeneuve devient un village de carriers. Ils exploitent des bans de grès affleurant en bordure du plateau pour produire des pavés destinés aux rues parisiennes. C’est justement les carrières de grès de la butte blanche et les gravures rupestres du « trou du Sarrazin », difficilement accessible à flanc de coteau, qui méritent qu’on s’y attarde.

  058.jpg

 


060.JPG

 

 

Au bourg, les pittoresques demeures rurales, habilement restaurées, et un remarquable pigeonnier porche, méritent eux aussi un détour

 

063.jpg

 

 

062.jpg 

             

L’humble commune est placée sous la protection de Saint Thomas Becquet, alors que l’écart du Mesnil-Racoin est desservi par une chapelle.

  061.jpg
 

 

Longtemps, le Mesnil-Racoin, sur le plateau, a été plus important que bourg, ce qui explique que le hameau soit pourvu d'une école dès 1846, alors qu'il faut attendre 1882 pour qu'il en soit de même à Villeneuve. On trouve aussi au cœur du hameau une mare cernée de belles maisons de pays dont une particulièrement colorée !

 

052.jpg

 

    

049.jpg

 

 

050.jpg

 


051.jpg

 

À mi-distance des foyers d’habitation, au milieu des champs, est érigé un monument funéraire, en souvenir des 303 soldats américains et des 225 soldats allemands inhumés en ce lieu durant la seconde guerre mondiale. La dépouille de tous ces soldats rejoignit des cimetières militaires en 1948 à l’exception d’un combattant français.


054.jpg

 


055.jpg

 


056.jpg
 

 

  



06/05/2020
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 119 autres membres