FRANCILIEN-HEUREUX

Coteaux de la Marne 

La Brie s’arrête en abrupt au-dessus de la Marne, procurant un panorama spectaculaire sur une immense partie de l’agglomération parisienne. Le coteau offre tout un échantillon de maisons de maître, de pastiches de demeures normandes, art déco et maisons contemporaines dans un fouillis de verdure. Le site est parcouru par des chemins de campagne, sentier des grandes vignes, de la Georgette, qui s’intensifie vers Sucy pour aboutir à des friches et un sous-bois, défunt parc en triste état de l’invisible château des Rets.

Le bord de la rivière, bucolique à souhait avec sa sente de pêcheurs, est le domaine de magnifiques maisons : restaurant du vieil écu ou château de l'étape, entre autres.

 


L’ancienne gare de voyageurs de la grande ceinture est la copie conforme de celle de Bry sur Marne.

Le Centre 

L’antique village briard se groupe autour du chevet gothique de Saint Pierre. En face, la célèbre terrasse de Chennevières offre un somptueux panoramique. L’espace De Gaulle à ses côtés, présente sur ses terrasses quelques arpents de vigne.

Le croisement des avenues Aristide Briand et du général De Gaulle, est gardé par la fort belle croix de chemin Saint Siméon. Un peu en contrebas, le parc Corot, laisse admirer ses parterres de fleurs, son bassin, et la banlieue dans le lointain. 

Le Fort 

L’immense relais Hertzien, cousin jumeau de celui de Romainville, se voit à des lieux à la ronde. Il est d’ailleurs curieux de pouvoir l’observer au-dessus des champs de blé. Le fort de Champigny, profondément enterré, ne laisse deviner lui, que son porche d’accès.

Les Hauts – Bois l’Abbé 

Ici, la frontière est invisible avec le quartier homonyme de la commune voisine : Champigny. C’est le même univers de cités sensibles, barres et tours sans âme, que les équipements éducatifs et culturels ne parviennent pas à humaniser.

Les Bordes  

À la lisière du Plessis-Trévise et de la Queue en Brie, des vestiges de l’antique pays briard, bois maigrelets, friches, cultures céréalières tentent de survivre face au grignotage incessant de l’urbanisme, là où la ferme des Bordes en ruine a baissé pavillon.