FRANCILIEN-HEUREUX

Vers la fin du 8^e siècle, Saint Médéric, abbé de Saint-Martin d'Autun, part en pèlerinage sur les tombeaux de Saint Denis et de Saint Germain à Paris. La route est  longue et l'abbé vieillissant doit souvent s'arrêter. C'est ainsi qu’il fait halte en un endroit désert où sera ensuite élevée une chapelle en souvenir de ce saint homme, dont la charité et les miracles avaient frappé les populations. Bientôt quelques maisons se groupent sur le coteau.

Les villageois placent leur paroisse sous le vocable de Saint Médéric dit Saint-Merri ou encore Saint-Méry, dominant le rustique ru de la Prée, qui rejoint au lieu-dit le Bricquenet, le ru du val d’Ancoeur. Sur son cours, il existe encore trois moulins, la Varvanne, le moulin de la ville et celui des voies, tous trois mués en résidences secondaires.