LE PLESSIS TRÉVISE (septembre 2008)
Val Roger
C'est l'exemple parfait d’un ancien domaine du 19e, en l’occurrence Le Plessis Lalande, morcelé en lotissements résidentiels. Au gré du cheminement, on découvre la mare du Val Roger, quasi invisible au rond-point du même nom, la grille du château Lalande au croisement des avenues du Val Roger et Delubac ou encore ses vasques de pierre à chaque extrémité de l’avenue du parc de Lalande.
Le château des Tourelles, au nord du domaine, semble être une construction plus récente.
Marbeau
Ici encore au détour des rues, on déniche des vestiges du temps jadis, comme cet immense parc forestier quasi à l’abandon, derrière ses hauts murs, entre les avenues de Chennevières et de Marbeau, veillé par un ancien pavillon de chasse devenu une somptueuse maison d’archi.
Le Centre
La commune, fabriquée de toutes pièces fin 19e , manque cruellement d’un véritable cœur de ville. L’avenue Ardoin en fait office accueillant quelques commerces, le marché couvert, la mairie nichée dans un hôtel particulier et Saint Jean-Baptiste, modeste église sans attrait. Le parc François Mansart s’organise autour d’un plan d’eau, d’une propriété en meulière avec quelques statues intéressantes.
Le Plessis Saint Antoine
Les lotissements résidentiels ont grignoté peu à peu la Brie champêtre. Au milieu de cet habitat individuel, subsiste très remaniée la cité de la joie, 1ère cité d’urgence créée en 1954 à l’instigation de l’Abbé Pierre. Le parc urbain au pied des immeubles porte d’ailleurs son nom.
Sans transition, on quitte la zone construite pour fouler les allées forestières du Plessis Saint Antoine où se cachent encore quelques marnières envahies de roseaux.
À l’orée du bois, on trouve des champs et des prés, quelques vaches broutant l’herbe autour de la ferme Saint Antoine, véritable exploitation briarde avec ses murets recouverts de graffs éclatants.
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